Réformes dans les enseignements primaires et secondaires: Le ministre ATCHA Dédji insiste sur la qualité des enseignants

L’ex patron de Togocom dirige depuis bientôt deux mois le  département des enseignements primaires et secondaires. Ce technocrate qu’on ne présente plus est déjà dans l’action au sein de ce département ministériel. Il aurait commencé un profond diagnostic dudit secteur, tout en fondant son nouveau plan d’action sur la chaleureuse collaboration de toutes les ressources humaines disponibles. Cette attitude de vrai manager qu’on lui connait durant les postes qu’il a précédemment occupés ne le quitte pratiquement plus. Pour lui, les grands titres n’ont aucun sens si un véritable climat de franche collaboration ne s’installe entre le patron et le reste du personnel.

De l’avis de certains de ses collaborateurs, le Ministre Dédji, tout en restant dans la continuité des actions de ses prédécesseurs, préfère attaquer dans un premier temps l’épineuse question de l’amélioration de la qualité de l’enseignement à la base. Autrement dit, la qualité de la formation des enseignements du primaire et du secondaire. Ce programme dont les bases ont été posées essentiellement durant ces dix dernières années pourra se poursuivre et se consolider de manière significative comme le souhaite vivement l’actuel ministre.

En effet, l’Etat togolais a très vite pris conscience de l’importance de cette formation. C’est d’ailleurs pourquoi le nombre des ENI est aussitôt passé du double au triple, c’est-à-dire de deux à six. On a désormais les ENI de Notsè, de Sotouboua, Niamtougou, Dapaong, Tabligbo et Adéta. Ainsi au moins 3 vagues successives d’élèves maitres estimés à 2904 se sont succédé dans ces centres et un accent particulier placé sur la qualité même des formateurs. Le Ministre Atcha Dédji aurait déjà donné des instructions pour qu’aucun détail ne soit négligé par rapport à ce programme en vue d’une meilleure qualité de l’enseignement dans notre pays. D’autres mesures aussi importantes qu’urgentes seraient en ce moment même en pleine élaboration par le nouveau Ministre en vue d’une amélioration globale de la qualité de l’enseignement et des conditions de vie et de travail des acteurs ce corps. Vivement que toutes ces mesures permettent de maintenir la grande accalmie que nous observons dans ce secteur durant ces derniers moments.

Cette accélération de la propagation suscite l’inquiétude et la colère sur les réseaux sociaux, qui reprochent aux autorités locales d’avoir mis trop de temps à réagir. Depuis une semaine, c’est le gouvernement central qui coordonne l’effort national, en jouant la carte de la transparence promise aux responsables de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La commission de lutte contre l’épidémie dirigée par le Premier ministre, Li Kekiang, a reconnu hier, mercredi 29 janvier, que la situation était « grave et compliquée ». Même le gouverneur de Wuhan, accusé par les internautes d’avoir retardé l’information, confie qu’il existe toujours une grave pénurie en équipement dans les hôpitaux du Hubei.

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